lundi 17 août 2009

LOUIS LE GALOUP TOME 2 : LES NUITS D'AURILLAC



Depuis le matin du 4 juin, "Les Nuits d'Aurillac", sont sur les étals de toutes les bonnes librairies de France et d'Occitania !

Dans ce nouveau tome, Louis, Severin et la jolie Roussotte, nos héros, vont vivre de palpitantes aventures à Aurillac. Même si cela ne plait pas trop à Louis, il est obligé de poursuivre sa mission, devenir celui qu'il est appelé à être... Celui qu'il est déjà... Au fil de la saga, nous comprendrons le message livré par Louis le Galoup avec son "louvoir", d'abord réfractaire à cet héritage génétique, Louis devra le maitriser afin que ce pouvoir ne decide pas à sa place, il sera ce que Louis en fera par ses agissements : un atout ou une arme. Comme l'âme humaine devient ce qu'elle est...

Mais auparavant, il va falloir franchir les remparts et pénetrer en la cité d'Aurillac... Pour trouver les alliés qui attendent nos héros, dont Maistre Lebreton. Mais le coté sombre veille aussi et traque Louis sans relâche dans ses rues... Pour sortir de la ville ce sera encore moins facile, le Grand Veneur chasse et le comte de Marsac envoie sa vouivre : le "ssssssSiblaire".... Mais ce qui attend Louis, et tout ce qu'il va découvrir, au fur et à mesure de la saga, sera étrange et palpitant...

Petites boutiques actuelles de la Rue des Forgerons

Si vous connaissez la rue des Forgerons à Aurillac, vous la verrez désormais sous un tout autre aspect... Au temps où les forgerons étaient légion dans ce quartier, et vous vous demanderez où pourrait bien se situer la boutique de Maistre Lebreton. La rue des Tanneurs vous apparaitra bien plus... olfactive... Quant à la Place Saint-Géraud, devant l'Abbatiale du même nom, vous y passerez désormais en pensant à Louis, à Margot et à Severin, et vous imaginerez très bien la scène du marché... (chuuuut ! je n'en dit pas plus... si vous n'avez pas encore lu le livre ! lol) En bref, chaque fois que mes pas me portent Place Saint-Géraud, le Galoup et son époque m'accompagnent... (je vous assure que c'est vrai !).


Abbatiale Saint-Géraud sous la neige... "San Guiral" ! L'abbatiale romane, contruite vers 885 par le Comte Saint-Géraud sur l'emplacement de l'eglise Saint-Clement, fut rebatie 6 fois, cette version actuelle, à la façade gothique, date du XIXe siècle. Au temps de Louis, l'aspect de cet édifice etait différent. La fontaine à cuve, en serpentine vert sombre, illumine la place depuis le XIIe siècle.


Monastère et Maison des Chanoines (Xe siècle) façade à arcatures romanes de l'Hostellerie, autrefois étape de la route de Saint-Jacques-de-Compostelle.


Place Saint-Géraud. Vers la rue des Monastères.


Je vous laisse découvrir ce deuxième tome prometteur de quelques sueurs bien froides... Car vous n'avez pas fini de trembler, ni de vous émerveiller ! Il y en a en tout pour 5 tomes ! Ne l'oubliez pas ! Vous connaissez Jean-Luc : le rythme va aller crescendo ! :-)


Merci Jean-Luc et merci Jean-Math pour vos talents respectifs, il y a peu d'artistes capables de nous emmener aussi loin, à la fois dans le temps et dans l'imaginaire, avec un si bel et fort impact.

Sortie du tome 3 de Louis le Galoup "Le Seigneur des Tours de Merle" : Janvier 2010. Allez c'est pour bientôt ! (oui je sais, nous allons encore "languir" pendant quelques mois...)

Avec mes remerciements aux Editions Nouvel Angle.

Texte et photos d'Aurillac : Nathanaëlle C.

Illustrations : Jean-Mathias Xavier

dimanche 16 août 2009

PARTONS POUR OCCITANIA....


Bandes annonces des deux premiers tomes de Louis le Galoup illustrées et réalisées par jean-Mathias Xavier

LOUIS LE GALOUP Tome 1



LOUIS LE GALOUP TOME 2 Bande Annonce et Illustrations de Jean-Mathias Xavier


louis le galoup bande annonce 2
envoyé par jean-mathias - Court métrage, documentaire et bande annonce.

samedi 15 août 2009

JEAN-MATHIAS XAVIER : L'AMOUR DU DESSIN

Jean-Mathias Xavier, illustrateur au talent raffiné et exceptionnel, m'a raconté son parcours artistique et comment il en vint à illustrer "Louis le Galoup", premier roman de Jean-Luc Marcastel.

Aujourd'hui Angevin, Jean-Mathias quitta le système scolaire à 16 ans afin de se consacrer à sa passion : le dessin. Afin que son rêve d’enfant prenne vie, il suivit les cours du soir d’anatomie artistique et de dessin d’Académie (cours d’après modèle vivant) de l’Ecole des Beaux-Arts de Paris. Son bonheur etait d’apprendre à dessiner la beauté du corps humain. Il étudia la peinture à l'Institut Philotechnique et progressa rapidement grâce à son talent très prometteur. Puis il se cultiva dans tous les domaines et approfondit son apprentissage en autodidacte.


Dingo le film

Dès 1991, il démarcha les sociétés de production de dessins animés et débuta sa carrière artistique chez Disney-Montreuil en qualité de technicien cameraman. Cette expérience derrière la caméra ne fut pas inutile. Son premier travail de dessinateur vint en qualité de décorateur au crayon aux Studios de France Animation. Là, il rencontra son maître en perspective, un américain du nom de Robert Saint Pierre. Il lui apprit tout de cette règle… en américain !
« J'ai souffert mais j'ai progressé une fois de plus. C'est ainsi que j'ai avancé : à force de persévérance ».

Blake et Mortimer

« J'ai exercé pratiquement tous les postes de la chaîne de production du dessin animé : décors, création de personnages, scénarimage, assistanat de production, animateur scénariste, directeur artistique, réalisateur. Les productions auxquelles j’ai participé, pour n’en citer que quelques-unes : « Dingo le film » de Disney Montreuil, le studio Ellipse animation pour « Blake et Mortimer », « Bob Morane », Sonic... J’ai terminé en qualité de directeur artistique pour une série du nom de PanshelWorld. J’ai travaillé ensuite au développement de projets de dessins animés pour créer des personnages, développer les histoires, réaliser des cours métrages afin de créer de futures productions, mais ceci étant très long, j'ai eu la possibilité de faire une formation sur les effets spéciaux pour la télévision. Puis, j'ai commencé mon travail chez KAZE.SA, le numéro°1 de l’importation de dessins animés japonais. Je travaillais sur les bandes annonces et les publicités. Ce poste me convenait parfaitement car j’avais passé 18 ans à dessiner pour les autres, je me retrouvais enfin à exercer l’activité professionnelle la plus agréable, celle qui me laissait me consacrer entièrement à mon premier amour : le dessin".


Panshelworld

"Cinq mois après avoir été embauché chez KAZE.SA et sans avoir touché un seul crayon depuis, je rencontrais mon amie Caroline Fel dans le TGV qui m'emmenait vers Paris. Elle me parla de Louis le Galoup, ce roman pourrait être un beau projet de film et serait certainement une source inépuisable d'inspiration pour un illustrateur comme moi. Je lui demandais alors de contacter l'auteur pour savoir qui détenait les droits de productions cinéma. Aussitôt dit aussitôt fait : au téléphone, Jean Luc lui apprit ses difficultés à faire éditer le 5e tome de Louis lors de sa première édition régionale et qu’il était lui-même propriétaire des droits d'adaptation audiovisuelle

Voilà comment tout a commencé..."

Margot, la jolie Roussote de "Louis le Galoup"

"Fort de cette réponse, j’ai commencé à lire le roman et, dès les premières pages, totalement épris par cet imaginaire, j'ai vu le monde de Louis comme si je m'y promenais, je côtoyais les lieux et les personnages avec une telle intensité que lorsque je refermais le livre, il me fallait rapporter dans notre monde ce que j'avais vu de l'autre coté."


Louis à la Cascade du Luc

"J’ai saisi mes crayons. Cela n'a pas été facile du premier coup. J'étais entravé par les règles qui avaient forgés mes 18 ans de carrière dans le dessin animé. A dessiner les personnages que l’on vous impose, à copier des styles, on finit par perdre toute originalité. Mais je me suis obstiné, j'ai dessiné, dessiné, jusqu'à ce que je puisse voir sous mes yeux, là sur ma feuille de dessin ce que j’imaginais sans peine lorsque je pénétrais dans le monde de Louis, tel un souvenir figé, comme une photo que j'aurais prise avec un vieil argentique."

"La suite, tout le monde la connaît... »



Malemort, le Grand Veneur.

Grâce à la collaboration et l'amitié entre Jean-Mathias et Jean-Luc, union de deux grands talents, "Louis le Galoup" renaît aux Editions Nouvel Angle accompagné par de magnifiques illustrations de style fantastique au trait réaliste. Le tome 1 est paru le 8 janvier 09, le tome 2 : le 23 mai, quant au tome 3 ce sera pour janvier 2010...Les tomes 4 et 5 viendront courant 2010.


Louis et Margot

MERCI Jean-Math pour ta générosité et ta gentillesse.
Illustrations et documents personnels de l'auteur, reproduction interdite.


Mandailles, village de Louis.


"Le jour où les âmes furent fabriquées, les nôtres sont nées l'une près de l'autre..." Quelle jolie manière de la part de Jean-Mathias pour exprimer l'amitié qui le lie à Jean-Luc et leur même vision des personnages du roman, car il faut savoir que certains visages des protagonistes du "Galoup" dessinés par Jean-Mathias, sont quasiment identiques à ceux de quelques proches de Jean-Luc ! Par exemple: la grand-mère de Margot la Roussotte est le parfait sosie de la grand mère de Jean-Luc, Jean-Math ne l'avait pas encore vue lorsqu'il l'a dessinée ! Stupéfiant n'est ce pas !



Texte : Jean-Mathias Xavier et Nathanaëlle C.
Photo : Nathanaëlle C.
Toutes les illustrations de ce blog sont publiées avec l'accord de Jean-Mathias.

JEAN-LUC MARCASTEL : L'IMAGINAIRE AU COEUR


Eminent auteur de "Louis le Galoup" et de "Frankia" dont il a également crée les illustrations, Jean-Luc Marcastel a, depuis l'âge de 9 ans, toujours aimé écrire et dessiner. L’un n’allait pas sans l’autre... Adolescent, il participa à plusieurs concours de nouvelles. Sa tante lui avait narré un de ses rêves nocturnes, et ce rêve, il le coucha sur le papier, se cachant lui-même derrière les personnages. Déjà, il avait compris la stratégie de la narration, le découpage, la psychologie à donner aux protagonistes d’un récit, mais surtout il sentait le plaisir d’écrire, plaisir qui ne le quittera jamais, et ce besoin de donner l’envie de lire ses textes. Il avait déjà compris l’Art du « bien écrire ».

A l’âge de 20 ans, il commença à envoyer ses manuscrits à des maisons d’Edition. Ses écrits n’étaient pas choisis pour la publication mais recevaient néanmoins moult encouragements.
Après une terminale en Art et Lettres A3 au lycée Emile Duclaux d’Aurillac, Jean-Luc intégra la faculté du Mirail à Toulouse pour une licence d’histoire et enseigna l’histoire-géographie avant de se consacrer uniquement à l’écriture.


La trame, les personnages, l’histoire du Galoup ont germé en 2001. L’idée de situer ce roman historico fantastique dans notre « patrie » du Cantal et de ses environs était une première dans ce style de littérature. Dès l’écriture terminée, le roman faillit paraître chez Gallimard. Mais ce n’était pas encore son heure… Pas plus que chez d'autres éditeurs, où pourtant sélectionné, on exigeait de l’auteur une version différente du dénouement du Galoup… Pas question ! Pour Jean-Luc, cela aurait été se trahir, il n’avait nulle envie de subir ce diktat. De fil en aiguille, ou plutôt de bouche à oreille, Jean-Luc entendit parler des «3 Epis», Maison d’Edition Corrézienne, où le tome 1 du Galoup fut enfin publié en mai 2004. L’auteur avait signé là son premier contrat !


Les 3 Epis publièrent 4 tomes du Galoup, le 5e fut publié par Jean-Luc lui-même aux Editions "Le Drac".
Puis, ce fut la rencontre avec Jean-Mathias Xavier, illustrateur des 5 tomes de Louis le Galoup et les Editions Nouvel Angle…
(voir article Jean-Mathias Xavier : l'amour du dessin)



En 2008, Jean-Luc envoyait le manuscrit du « Simulacre » aux Editions Mnémos, son style fut très apprécié par l’éditeur. « Les Mousquetaires » parvint chez ce même éditeur 2 semaines plus tard. En janvier 2009, Mnémos donnait son accord afin de publier prochainement ces ouvrages, au moment où paraissait le premier tome de "Frankia" et la seconde édition de «Louis le Galoup» chez Nouvel Angle.

Jean-Luc est un auteur à messages, plus je le lis, plus je ressens cette transmission des belles valeurs au millieu du suspens. Jean-Luc a l'âme qui vous sourit et ses ouvrages sont une thérapie contre la grisaille du coeur, l'indifférence et la sécheresse au cas où elles vous guetteraient.


Merci Jean-Luc d'avoir le talent d'enchanter et de captiver tes lecteurs. et merci de m'avoir confié ton histoire.

"Louis le Galoup" tome 3 "Le Maitre des Tours de Merle" sortie prévue en janvier 2010.

Texte et photos : Nathanaëlle C.

LOUIS LE GALOUP TOME 1 : LE VILLAGE AU BOUT DU MONDE




Gourmand de mots, Jean-Luc a mitonné ce roman au coin du Cantou, au son de la bûche qui craque sous la morsure de la flamme...
Nous sommes en 1200 après JC, une grande brèche s'est ouverte en 999, (NB : sous le pontificat de Sylvestre II, dit pape Gerbert, qui était lui aussi né vers Aurillac... près de Saint-Simon), De ce trou ouvert par les enfers, la "malfaisance" a fait vivre à l'homme bien des fléaux et a contaminé humains et animaux, de sorte qu'il ne faisait pas bon se trouver face à une "malebeste" prète à decimer un village entier. Cette "Grande Brèche" est fictive bien sur... Mais divise la France en deux.
200 ans après, en ce Royaume d'Occitania, si bêtes ou hommes imprudents ou trop curieux s'en approchent de trop près, ils changent, se tranforment... Et une "malebeste" égarée se montre encore de temps à autre... C'est l'expérience que va faire Louis. Pour sauver son frère, son étrange pouvoir dont il a remarqué les premices depuis quelques temps, sans trop comprendre ces sensations et cette soudaine force, se dévoilera complètement à lui...
Mais Louis n'en voudra pas de ce drôle d'héritage ! Car il s'agit bien d'un "louvoir" dont ses gènes sont pourvus et non pas d'un mauvais sort. Et, ainsi que va le lui faire découvrir quelqu'un qui lui est bien plus proche qu'il ne le pensait, ce pouvoir, Louis peut le maitriser. Le louvoir du galoup en sera ce que Louis en fera... Il devra apprendre à le gérer, parvenir à le dompter, le dominer, s'en servir à bon escient dès le début de cette aventure, mais ce ne sera pas si facile...
Louis devra fuir car l'éveil du "griffu" qui someillait en lui sera perçu par l'usurpateur du trône d'Occitania. Marsac enverra ses "sbires", Siblaire, Grand Veneur, leurs armées de galoups noirs, à sa poursuite. Cette grande chasse lancée contre Louis ainsi que la mission qui en découlera et lui incombera, l'entrainera avec Severin, son frère, et la jolie Margot, cette rousse au caractère bien trempé, elle-même détentrice d'un "telloir"... Ils partiront de Mandailles vers Tolosa dans une épopée, un combat, qui changeront leurs vies et celle d'Occitania. Ces trois-là seront liés à jamais dans cette passionante saga fantatico-médievale. Louis n'est pas au bout de ses surprises et le lecteur non plus...
Mais je ne vous en dis pas plus, je vous laisse trembler, vibrer, palpiter, sourire aussi, car ainsi que commence le roman de Jean-Luc, "C'est l'heure du conteur, l'heure de Louis... Louis le Galoup..."

La Resserre du Château de Marfon...

illustration de Jean-Mathias Xavier

Texte : Nathanaëlle C.

LOUIS LE GALOUP... SON PAYS, SON AUTEUR, SON ILLUSTRATEUR

Carte postale du Pays de Louis le Galoup (Ed Bos)

"Il y a un village, là-haut, entre ciel et bruyère..."
JL Marcastel "Louis le Galoup".

Jean-Luc Marcastel, en bon Auvergnat, ne pouvait situer sa première histoire ailleurs que dans notre contrée… Nourri, tout petit déjà, aux recits de Tolkien et de Seignolles, inspiré par Balzac, c’est sur le ton du conteur qu’il nous narre l’Histoire de Louis, Louis le Galoup… Car ce récit se lit « avé l’accEng » de l’Auvergne, celui de par ici… Vers Aurillac, puis il chante avec celui de Tolosa la Rossa. Car tout commence dans la vallée de Mandailles, continue à Aurillac, se poursuit aux Tours de Merle, à Argentat, passe par La Roque St-Christophe et poursuit sa route vers… la belle Tolosa !


Avec Jean-Luc, quand on a terminé une page, on la relit aussitôt, pour le plaisir ! Le plaisir de la poésie des mots, de les revoir, les entendre de nouveau chanter entre eux. Cette saga est une merveille d’écriture, Jean-Luc écrit « beau », cela parait bizarre de l’exprimer ainsi mais sa belle plume riche, au vocabulaire riche et pittoresque, nous emmène dans un univers historico-fantastique, tout droit sorti de son imaginaire bienveillant. Jean-Luc écrit avec son cœur, et ça palpite ! Dès que l’on a le livre entre les mains, on ne le lâche plus ! Vous, estranger qui ne connaissez pas encore les tomes suivants ou qui n’avez pas encore osé ouvrir le premier, attendez vous à être emporté par le flot d’une belle histoire médievale, peuplée de galoups, de chevaliers, et d'une belle "Roussotte" au milieu des châteaux, des villages, des paysages d'Occitania, une histoire aux rebondissements multiples, une histoire d'amitié, de dignité, de justice, de belles valeurs, menée d’une main de maitre, de Maistre Conteur…

Louis près de la Cascade du Luc (tome 1)

Jean-Mathias Xavier, le talentueux illustrateur de Louis le Galoup a déjà une longue carrière dans le dessin animé, il est également réalisateur de spots publicitaires et de bandes-annonces. Dès sa première lecture de l’édition régionale de Louis le Galoup, il tomba amoureux de l’histoire, et prit illico contact avec Jean-Luc, car les personnages et les lieux commençaient déjà à prendre vie en son esprit, et au fil de son crayon… Il contribua ainsi à la renaissance de la saga de Louis le Galoup aux Editions Nouvel Angle. Jean-Mathias, immergé dans l'univers de Jean-Luc, nous restitue personnages et paysages tels qu'il les imagine et on ne peut les rêver autrement. Son style, son trait superbe, se marie parfaitement à ce roman fantastico-médieval. La collaboration entre les deux amis est une totale réussite. A ce jour, Jean-Mathias a déjà créé plus de cent quarante dessins pour accompagner les différentes étapes de l’histoire, et d’autres merveilles sont déjà en cours de création...

Texte et Photo : Nathanaëlle C
Illustration de Jean-Mathias Xavier

vendredi 14 août 2009

LOUIS LE GALOUP : EXPOSITION "ARTS D'AUTOMNE 08"

Centre Pierre Mendès France à Aurillac (15000)

Vernissage de l'Exposition - Salle de l'Atrium du Centre Pierre Mendès France.
Jean-Math et Jean-Luc répondent aux questions de leur public


Jean-Mathias Xavier fut l’un des deux invités d’honneur de l'Association Artistique Aurillacoise ARTNICA lors de son exposition d'Art dans le cadre de ses manifestations «Arts d’Automne» en octobre 2008 au Centre Pierre Mendès France à Aurillac. Le public, conquis, avait réservé un très bel accueil à ces illustrations. 752 visiteurs eurent la joie de découvrir ces illustrations en avant -première.


Après le succès retentissant de l’édition régionale de "Louis le Galoup", le lectorat et le public souhaitent à Jean-Luc et à Jean-Mathias le plus beau des succès afin de les conduire à une belle notoriété, car faire voyager ainsi le lecteur, l'enchanter autant, et réveiller en lui ces envies de s’échapper sur les beaux chemins (escarpés mais magnifiques) de Louis, ils le méritent ! On ne peut que leur dire : MERCI !


Petits et grands captivés par les illustrations de Jean-Mathias




Affiche "Louis le Galoup" tome 1
Editions "Nouvel Angle"

Illustrations Jean-Mathias Xavier
Texte et photos : Nathanaëlle C.